42 - Lalu post

Aller retour Denpasar-Jakarta (Institut Français) avant de retrouver Brest la rouge.

L’épopée du masque en moi ne fait que (très bien) commencer.
Les délires à éprouver au plateau ont chargé mon carnet de notes, d’idées, de croquis.
Tempête de gens et de lieux qui ont dessiné ma route, je veux les retrouver.

Ce matin là le soleil éclaire un panneau rigolo à la croisée des chemins.
Quel que soit le choix, toujours se méfier des éléphants.
L’après midi fut tropicale à souhait, magnifique et irréelle vision d’Asie sous la pluie torrentielle.

Si tu me dis "alors comment te sens tu ?" je te réponds "en marche".
La question du partir c’est surtout celle du revenir. Tout commence.

Du masque je configure avec netteté le trouble de sa mécanique : du vivant saccadé.
Les ouvriers en art que j’ai rencontré, m’ont tendu la main sous les rires, entrainement à déjouer le jeu.
Le jeu des gestes-chants qui font se choquer l’idée d’arrêt et celle plus abstraite de son déplacement. Sorte de féérie du non dit, cosmique, elle fait entendre à qui veut bien, que ce dont nous héritons n’a pas de prix.

L’Indonésie que j’ai rencontrée est un bain culturel puissant, et non une trempette timorée. Par le voyage, il n’a pas s’agit de changer de lieu, mais de changer (déstabiliser) mes idées, mes visions, mes peurs !

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Vous savez où me trouver.
A suivre !